Clause de non-responsabilité: L’article suivant est publié à des fins éducatives uniquement et ne promeut pas l’utilisation de stéroïdes illégaux. Il est basé sur notre expérience et sur des études cliniques. Les stéroïdes ou tout autre produit destiné à améliorer les performances peuvent gravement nuire à la santé.
L’Anavar (oxandrolone) est l’un des stéroïdes anabolisants les plus populaires au monde en raison de sa capacité à augmenter la masse musculaire maigre tout en réduisant la graisse sous-cutanée et viscérale.
De plus, d’après notre expérience auprès de plusieurs hommes forts et haltérophiles professionnels, les effets de l’Anavar sur la force musculaire sont souvent sous-estimés.
C’est pourquoi il s’agit d’un composé de base dans de nombreuses combinaisons pré-compétition de powerlifters.
Nos patients masculins prennent de l’Anavar pour devenir plus définis, plus volumineux, plus forts et plus gros.
Nos patientes prennent de l’Anavar pour les mêmes raisons ; cependant, il est sans doute plus recherché par les femmes car c’est l’un des rares stéroïdes qui ne provoque pas de masculinisation (à des doses modérées).
La popularité de l’Anavar s’explique non seulement par son effet positif sur la composition corporelle, mais aussi par son profil de sécurité.
L’Anavar est un stéroïde anabolisant approuvé par la FDA ; il est donc considéré comme sûr lorsqu’il est utilisé sous ordonnance à des doses thérapeutiques.
Cette approbation souligne sa nature douce, les femmes et les enfants n’ayant montré que peu d’effets secondaires lors des essais cliniques.
Toutefois, les culturistes se procurent souvent l’Anavar illégalement sur le marché noir, ce qui présente des risques plus importants.
Contrairement à l’utilisation prescrite par un médecin pour des affections telles que la cachexie ou l’ostéoporose, les produits non pharmaceutiques ne sont pas réglementés et peuvent accroître la probabilité d’effets secondaires associés à l’oxandrolone.
En outre, les culturistes ont tendance à prendre des doses élevées, dépassant les limites thérapeutiques et sans surveillance médicale.
Dans notre clinique, nous avons traité et observé les effets secondaires suivants liés à l’Anavar. La gravité de ces effets dépend souvent de facteurs tels que la génétique, l’entraînement, le régime alimentaire, le dosage et la durée du cycle de l’utilisateur.
Il est courant de constater que des doses élevées d’Anavar, combinées à un mode de vie malsain, peuvent provoquer des effets indésirables, qui peuvent être détectés lors du prochain bilan de santé de l’utilisateur.
En revanche, nous avons constaté que des personnes en bonne santé ayant utilisé des doses modérées d’Anavar n’ont pas connu d’effets secondaires significatifs et ont maintenu les résultats de leurs tests dans une fourchette normale.
D’après notre expérience, les stéroïdes anabolisants oraux ont tendance à avoir des effets plus négatifs sur le cholestérol (par rapport aux injectables) en raison de l’activation de la lipase hépatique dans le foie.
Nos analyses lipidiques montrent que le taux de cholestérol des lipoprotéines de basse densité (LDL) n’augmente pas excessivement avec l’Anavar, ce qui en fait un stéroïde oral plus favorable à la santé cardiovasculaire.
Nous avons observé que la testostérone et le déca durabolin présentent moins de risques cardiovasculaires que l’anavar, pour toute la gamme des stéroïdes anabolisants.
Bien qu’une augmentation notable de la pression artérielle soit attendue, elle se normalisera après le cycle. Les utilisateurs peuvent donc s’attendre à un certain stress cardiovasculaire, ce qui augmente légèrement le risque d’infarctus du myocarde.
Par conséquent, nous recommandons aux personnes souffrant déjà d’hypertension artérielle ou ayant une prédisposition génétique aux maladies cardiaques d’éviter de prendre de l’Anavar (ou d’autres stéroïdes anabolisants).
Les personnes ayant un profil lipidique sain ne risquent pas de souffrir de problèmes cardiaques à court terme avec Anavar.
Toutefois, les utilisateurs doivent toujours s’efforcer de minimiser la toxicité cardiovasculaire potentielle en pratiquant régulièrement des exercices cardiovasculaires et en adoptant un régime riche en graisses insaturées, pauvre en graisses saturées et pauvre en sodium.
L’Anavar est un stéroïde alkylant alpha-c-17, ce qui signifie que les taux d’alanine aminotransférase (ALT) et d’aspartate aminotransférase (AST) augmentent inévitablement dans les tests de la fonction hépatique de nos patients.
Cependant, en raison de la nature douce de l’Anavar et du processus de filtrage supplémentaire effectué par les reins, le stress hépatique est généralement gérable.
Dans notre clinique, certains bodybuilders choisissent de se supplémenter en acide tauroursodésoxycholique (TUDCA) pour une protection supplémentaire, à raison de 500 mg par jour, ou en N-acétylcystéine (NAC) à raison de 1 200 mg par jour.
Il est conseillé aux utilisateurs de ne pas combiner Anavar avec des médicaments hépatotoxiques ou de l’alcool afin d’éviter d’aggraver l’inflammation du foie. Ils ne doivent pas non plus prendre d’Anavar si leur foie est déjà enflammé ou blessé.
D’une manière générale, nous avons constaté que le degré de stress hépatique causé par Anavar n’est généralement pas problématique pour la plupart des utilisateurs, car le foie est un organe très résistant.
Les enzymes ALT/AST reviennent généralement rapidement à des niveaux normaux après le cycle.
Bien que les hommes aient beaucoup plus de testostérone que les femmes, nous avons observé que la suppression de cette hormone affecte aussi bien les hommes que les femmes, car elle est cruciale pour la libido, l’énergie et le bien-être féminin.
D’après notre expérience, l’Anavar est l’un des stéroïdes anabolisants les moins suppressifs.
Cependant, la testostérone endogène diminuera tout de même de façon marquée en raison de l’impact sur l’axe hypothalamo-hypophyso-testiculaire (HPTA).
En conséquence, les hommes et les femmes peuvent temporairement souffrir de dysfonctionnement sexuel, de baisse de la libido, de léthargie et de dépression après le cycle.
Notre analyse indique que l’Anavar ne supprime pas complètement les niveaux de testostérone.
Par conséquent, la période de récupération est généralement courte (plusieurs semaines) avant que les niveaux naturels de testostérone ne soient rétablis à la normale.
En raison de la nature bénigne de l’Anavar, certains de nos patients ne ressentent pas d’effets secondaires notables ou ne connaissent pas de phase de déclin significative après le cycle, de sorte qu’ils ne jugent pas nécessaire de suivre une thérapie post-cycle (PCT).
Toutefois, ceux qui souhaitent accélérer la production endogène de testostérone et restaurer l’axe hypothalamo-hypophyso-testiculaire peuvent opter pour des médicaments tels que le Clomid ou le Nolvadex.
L’un des avantages esthétiques de l’Anavar est sa capacité à augmenter le stockage du glycogène, ce qui se traduit par des gonflements plus prononcés à la fois dans la salle de sport et en dehors.
Cette apparence gonflée peut être visuellement attrayante pour les bodybuilders, mais elle peut également devenir inconfortable et même douloureuse pendant l’entraînement en raison de la plénitude excessive des muscles.
Il est courant de ressentir des pompages douloureux, en particulier dans le bas du dos, lors de l’exécution de deadlifts sous l’effet de l’Anavar.
Pour cette raison, il est important que les utilisateurs gèrent soigneusement les temps de repos entre les séries et évitent d’effectuer des répétitions très élevées pendant les séances d’entraînement.
Une stratégie efficace que nous avons trouvée pour contrôler la rétention excessive de liquide consiste à réduire considérablement la consommation d’hydrates de carbone, ce qui diminue le volume de liquide intracellulaire.
Une autre option est l’utilisation de diurétiques ; cependant, nous ne recommandons pas cette mesure en raison du risque de surcharger les reins, ce qui peut entraîner des troubles rénaux.
L’Anavar diffère des autres stéroïdes anabolisants en ce sens que les reins assument une charge plus importante lors de la transformation de l’oxandrolone après son administration.
Cela peut entraîner une diminution de l’inflammation hépatique, mais conduit à une augmentation de l’inflammation rénale.
Par conséquent, Anavar présente un risque de lésions rénales aiguës ou chroniques lorsqu’il est utilisé de manière abusive, c’est-à-dire à des doses élevées ou pendant des périodes prolongées (plus de 8 semaines).
Pour maintenir une santé rénale optimale, nous recommandons aux utilisateurs d’effectuer des contrôles réguliers avant, pendant et après les cycles d’Anavar afin de surveiller les niveaux de créatinine sérique.
En outre, nous avons observé que les utilisateurs d’Anavar qui prennent soin de leur santé cardiovasculaire (en faisant régulièrement de l’exercice et en suivant un régime pauvre en sodium, par exemple) sont moins susceptibles de développer des problèmes rénaux, car l’hypertension artérielle peut endommager les vaisseaux sanguins des reins, ce qui affecte la fonction des tubules néphroniques, qui sont essentiels pour filtrer l’eau dans le corps.
Bien que l’Anavar soit généralement bien toléré par les femmes, nous avons observé que lors de cycles prolongés (>5 semaines) ou à des doses élevées (>10 mg/jour), il peut provoquer une virilisation.
Ces effets secondaires virilisants comprennent l’approfondissement de la voix, la réduction de la taille des seins, l’élargissement du clitoris et la croissance des poils corporels. Des irrégularités dans les cycles menstruels peuvent également survenir.
La meilleure façon d’éviter la virilisation est d’utiliser des doses prudentes et d’utiliser Anavar de façon intermittente, par cycles, plutôt que de façon continue pendant des mois.
D’après notre expérience, les trois stéroïdes anabolisants qui provoquent le moins d’effets secondaires sont les suivants :
L’Anavar est relativement bénin par rapport à d’autres stéroïdes anabolisants et est utilisé de manière sûre et efficace par les hommes, les femmes et les enfants dans un cadre médical.
Cependant, il est important de ne pas sous-estimer les effets négatifs potentiels de l’Anavar, d’autant plus qu’il est fréquemment contrefait sur le marché noir, souvent en remplacement de la méthandrosténolone (Dianabol).
Dans de tels cas, l’Anavar peut être étiqueté comme le composé, mais le contenu réel est le Dianabol.
Cela peut accroître les risques, notamment en termes d’impact sur le cholestérol, la fonction hépatique et la virilisation chez les femmes.
En outre, nous avons constaté que les culturistes qui abusent de l’Anavar ou le combinent avec des stéroïdes anabolisants hautement toxiques peuvent accroître les effets secondaires, entraînant une détérioration de la santé à long terme.
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